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Magnifique victoire de Reims : un poteau bien inspiré et un but venu d’ailleurs !

L’ŒIL DU SUPPORTER

Samedi 15 décembre 2018

18e journée de Ligue 1 Conforama 2018-2019

Stade de Reims (11e à 22 points) – Strasbourg (8e à 23 points)

A1138-2

Opposés à Strasbourg ce samedi dans une rencontre marquée par les hommages, les hommes de David Guion se sont imposés face à un concurrent direct (2-1). Comme à l’accoutumée, notre fidèle supportrice et écrivain Marie-Agnès était présente et vous fait le récit de la dernière rencontre des Rouge et Blanc, comme elle l’a vécue depuis les tribunes de Delaune…

STRASBOURG, Mon Amour

« Strasbourg, Mon Amour ». Tous les joueurs du Racing Club de Strasbourg Alsace revêtent ce maillot unique en hommage aux victimes du terrible attentat du marché de Noël du mardi 11 décembre dernier. Un match de foot paraît bien dérisoire. Mais la vie continue. La haine ne triomphera jamais. Bras dessus, bras dessous, tous les joueurs honorent une émouvante minute de silence devant la tribune alsacienne recouverte de bâches noires. Delaune entonne alors une poignante Marseillaise. 

Un poteau bien inspiré

Il neige. Les passes sont difficiles à ajuster sur ce terrain glissant. Konan et Doumbia mettent le feu sur le flanc gauche. Déjà en difficulté, la défense alsacienne repousse mal le cuir. Doumbia en profite et cadre sa reprise de volée qui s’écrase sur le poteau… Buuut, poteau rentrant ! La chance est avec nous ce soir. 1-0 pour le Stade de Reims. Trois minutes plus tard, Delaune applaudit sa légende, Raymond Kopa, ballon d’or en 1958. Les supporters du Racing se métamorphosent en sapins de Noël illuminés par des fumigènes rouges. Abdelhamid réalise un « one-man-show » en dégainant une sacrée protection de balle après un coup d’accélérateur phénoménal, puis en usant d’un joli petit pont après un tacle d’école. Quel joueur ! Le jeu rémois virevolte à droite, à gauche, mais peine à trouver l’ouverture. À la marée bleue et blanche des supporters strasbourgeois répondent les Ultrem : « Qui ne saute pas n’est pas rémois, olé ! » Il y a deux matchs dans l’enceinte du Stade. Quel enthousiasme ! Par deux reprises, Reims manque de faire le break. C’est la pause. Thibault apprécie le beau spectacle, autant sur le terrain humide que dans les tribunes réchauffées. Benoit souligne les occasions gâchées par un jeu quelque peu brouillon. Son dernier mot : « Il faut tenir ! » 

Un but venu d’ailleurs

« Stras reste debout », peut-on voir dans les travées alsaciennes. Les mots sont forts et donnent un nouvel élan aux hommes de Laurey. Jonas Martin, auteur d’une longue chevauchée, ajuste un tir croisé que repousse de la main notre portier Mendy. Hélas, le ballon atterrit dans les pieds de Thomasson qui n’a plus qu’à propulser le cuir dans le but vide. Le Racing tient l’égalisation et ses supporters sont en liesse. 1-1. Tout est à refaire pour les Rouge et Blanc. Mon œil du supporter capte un beau geste de fair-play de deux Strasbourgeois aidant notre défenseur Engels à se relever. Cueillis à froid, les Rémois repartent à l’assaut grâce à un beau tir cadré d’Oudin, mais le gardien belge Sels veille au grain. Le rythme s’accélère. Doumbia régale le public par ses dribbles endiablés et provoque les fautes. Cafaro, tout récemment entré en jeu, se place pour un coup franc lointain à côté de Chavalerin. Qui va le tirer ? C’est Cafaro qui s’élance en envoyant un missile venu d’ailleurs, brossé à la perfection, dans la lucarne droite. BUUUUT ! Exceptionnel, Magnifique, phénoménal, autant d’adjectifs dithyrambiques pour ce but au goût de victoire. 2-1 pour Reims. Delaune laisse exploser sa joie : « Cafaro ! Cafaro ! » Les hommes de Guion défendent bien à l’image de Konan qui sauve sur sa ligne la balle du 2-2. Quelle tension ! Les Stadistes ont retenu la leçon de Lille. La victoire est dans leur besace, amplement méritée. Bravo les Rouges !

Marie-Agnès Girault-de Francqueville

« Quand les footballeurs deviennent des comédiens ! »

L’ŒIL DU SUPPORTER

Mercredi 5 décembre 2018

16e journée de Ligue 1 Conforama 2018-2019

Stade de Reims (9e à 20 points) – Toulouse FC (15e à 15 points)

A1094-2

Opposés à Toulouse ce mercredi, les Rémois ont concédé l’ouverture du score avant la pause et, malgré plusieurs grosses opportunités, n’ont pas réussi à revenir à la marque. Comme à l’accoutumée, notre fidèle supportrice et écrivain Marie-Agnès était présente et vous fait le récit de la dernière rencontre des Rouge et Blanc, comme elle l’a vécue depuis les tribunes de Delaune…

Après un bon nul empoché au Vélodrome, le Stade de Reims aura à cœur d’aligner une quatrième victoire en six matches. Rennes, Monaco et Guingamp ont en effet fait les frais de notre solide équipe défensive qui retrouve progressivement le chemin des filets. Quant aux Toulousains, ils ont perdu le goût de la victoire depuis onze matches et stagnent en bas de tableau. Place au bon jeu et « Allez les Rouges » !

Reims récupère vite le cuir en exerçant un pressing haut et efficace. Le rythme est soutenu de part et d’autre. Surgi du flanc droit, Oudin s’aventure sur un centre-tir qui surprend le gardien uruguayen du Téfécé. C’est détourné ! Les passes toulousaines sont mal ajustées. Oh ! Superbe tacle d’Abdelhamid, véritable rempart de la défense rémoise. Les Rouge et Blanc bénéficient d’un coup franc joliment tiré par Cafaro ; et Goicoechea est encore à la parade. Oudin, toujours à la baguette, centre… pour personne. Dommage ! Sur une mésentente de notre bloc défensif, l’attaquant Jean hérite inopinément du ballon et rate miraculeusement l’ouverture du score. Ça frôle le poteau droit. Quelle frayeur ! Les quelque dix mille spectateurs applaudissent au rituel de la trente et unième minute de jeu, symbole de la création du Stade en 1931. Le jeu se durcit. Carton jaune, seulement, pour Gradel, auteur d’un pied bien trop haut sur Foket. C’est bien gentil monsieur l’arbitre ! Les sifflets fusent à Delaune. Dans le temps additionnel et au terme d’une belle action collective, les Violets, contre le cours du jeu, marquent le but qui fait mal, très mal. 0-1. La reprise de Cafaro est tout près de faire mouche, juste avant la pause. Mon ami Louis pointe les déchets techniques du jeu rémois malgré une nette domination. 

Les Stadistes poussent à l’offensive à l’image d’une magnifique tête bien smachée de Chavalerin, désespérément repoussée par l’excellent gardien du Tef. Quelle splendide occasion ! Une minute plus tard, notre capitaine Romao centre sur Abdelhamid qui croise parfaitement sa tête. Goicoechea est battu… Poteau droit ! Ça ne veut pas rentrer ! L’entrée de Kamara amène de la vitesse et de la percussion, sans réussite. Les cartons se mettent à pleuvoir. Delaune gronde. Quels comédiens ces Toulousains qui tombent les uns après les autres comme des dominos ! Bobos, crampes ou chiqué, allez savoir ?! Cela ressemble à du cinéma tout de même. Sans compter les sorties des joueurs au ralenti pour grappiller de précieuses secondes. Delaune bouillonne de rage. Engels tente une tête cadrée, trop molle. Doumbia reprend une bien belle volée qui se cogne à la muraille uruguayenne. Le carton rouge pour un Toulousain, enfin mérité somme toute, n’y changera rien. Les hommes de Casanova renouent avec la victoire. Grosse frustration pour nos Stadistes qui méritaient bien mieux. Les supporters sont déçus, parfois amers, tel Ludovic qui désespère : « Il n’y a pas de buteur, pas de finisseur… » La défaite permet parfois de rebondir, nos Rémois nous l’ont déjà prouvé. Supporters, ne lâchons rien.

Marie-Agnès Girault-de Francqueville

Belle victoire du Stade de Reims contre Monaco

L’ŒIL DU SUPPORTER

Samedi 3 novembre 2018

12e journée de Ligue 1 Conforama 2018-2019

Stade de Reims (9e à 14 points) – AS Monaco (19e à 7 points)

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Ce samedi, les Rémois se sont imposés face à Monaco (1-0) ! Opposés au club de la Principauté, les Stadistes ont su prendre l’avantage en première période et ont fait preuve de rigueur et de solidarité pour tenir le score. Comme à l’accoutumée, notre fidèle supportrice et écrivain Marie-Agnès était présente et vous fait le récit de la dernière rencontre des Rouge et Blanc, comme elle l’a vécue depuis les tribunes de Delaune…

Une belle affiche

Reims – Monaco, l’affiche est belle. Oui mais… Ce n’est plus le Monaco Champion de 2017 d’où surgit magiquement l’extra-terrestre Mbappé. Tout de même, c’est le nouveau Monaco de Thierry Henry, le meilleur buteur français fort de ses 411 buts, une bagatelle ! Mais Reims ne s’en laissera pas compter, et voudra poursuivre sur sa relancée victorieuse à Rennes. Plus de 16 000 spectateurs sont venus en force pour encourager chaleureusement leur équipe. « Nous sommes les Rémois ! » Le tifo géant des Ultras Rémois brille en tribune Jonquet. Quant aux fans monégasques, leur banderole en dit long : « Bougez-vous ! » 

Du beau jeu collectif

Monaco a la maîtrise du cuir et obtient le premier corner, sans frayeur aucune. Mais les Stadistes dévoilent une belle agressivité et de l’envie chevillée au corps en pressant haut dans le camp adverse. Delaune s’unit à ce bel enthousiasme : « C’est tout le stade qui va s’enflammer, allez allez ». Notre capitaine Marvin Martin combine tantôt à gauche avec Cafaro en verve, tantôt sur le flanc droit avec Oudin. Le bloc défensif rémois est parfaitement en place, et même les attaquants sont solidaires. Petit clin d’œil à nos stars parisiennes… Romao et Oudin ajustent de belles frappes, hélas trop enlevées. Les supporters poussent leur équipe : « Qui ne saute pas n’est pas rémois, olé ». Oudin adresse du rond central une magnifique passe en profondeur pour son coéquipier Cafaro qui enroule son tir en pleine lucarne, BUUT. Et il est beau, tout en finesse technique ! Delaune explose, puis s’impatiente de la décision de la VAR (Video assistant referees ou arbitres assistants video)avant d’exulter à la confirmation du huitième but de la saison. 1-0 pour Reims ! Belle récompense de la solidarité sur le terrain. L’ASM réagit par Sylla qui fait trembler le petit filet de Mendy. À la pause, Michel se réjouit du beau jeu et du pressing collectif : « C’est groupé, ensemble et efficace ». 

Delaune survolté

Le coach Henry insuffle du dynamisme par les entrées en jeu de leur meilleur buteur Falcao aux pointes jaune fluo et du milieu Pelé. La ligne offensive asémite bouge mieux, en effet. Sur une semelle de Romao, somme toute involontaire à première vue, l’arbitre voit rouge. Delaune grogne, révolté. Les Rouge et Blanc ne sont plus qu’à dix et la seconde période ne fait que commencer. L’inquiétude traverse les tribunes se doutant de l’opportunisme monégasque. Mais lorsque l’entrant Pelé écope de son second carton jaune en à peine 13 minutes, les supporters scandent : « Rouge, rouge, rouge ! » L’équilibre numérique est alors retrouvé. Les tirs monégasques sont imprécis. Le rythme est haché. Le jeu se durcit. La principauté confisque le ballon, mais Mendy, toujours aussi vigilant, est à la parade sur une action dangereuse de Falcao. Reims n’abdique pas et joue en contre, à l’image de Doumbia qui sert Dia en pointe. Delaune s’est levé, mais le portier monégasque gagne son duel, du bout du pied. Dommage ! Les cinq minutes du temps additionnel ne changeront rien. Reims a été plus fort et signe sa quatrième victoire de la saison. Une bande de potes, Xavier, Laurent, Paul et Valentin, sont unanimes : « Très beau match et belle ambiance. Ne rien lâcher. On sera toujours là ! » 

Marie-Agnès Girault-de Francqueville

Le but de la délivrance pour le Stade de Reims !

L’ŒIL DU SUPPORTER

Samedi 20 octobre 2018

10e journée de Ligue 1 Conforama 2018-2019

Stade de Reims (17e à 10 points) – Angers SCO (10e à 11 points)

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Partage des points pour les Rémois samedi face à Angers ! Après avoir été menés au score, les Stadistes ont su réagir pour aller chercher l’égalisation. Comme à l’accoutumée, notre fidèle supportrice et écrivain Marie-Agnès était présente et vous fait le récit de la dernière rencontre des Rouge et Blanc, comme elle l’a vécue depuis les tribunes de Delaune…

Des buts !

Ce soir, les supporters rémois veulent des buts et une victoire. Oui, car les talents offensifs du Stade de Reims tardent à briller, après quatre matches vierges, hormis la défaite logique face au PSG. Du haut de son petit nuage, Raymond Kopa veillera sur la rencontre entre ses deux premiers clubs, le SCO d’Angers où il débuta sa carrière, puis le Stade de Reims où il révéla tout son talent en remportant par quatre fois le titre de champion de France. « Faites du bruit pour le Stade de Reims ! »

Le SCO ultra dominateur

Le premier corner est en faveur des Rouge et Blanc, sans suite. Les Angevins pressent haut et gagnent les duels aériens par leur puissance athlétique. Un joli petit pont rémois régale le public connaisseur. Chavarria chavire, un coup à gauche, un coup à droite. Le rythme est soutenu. Mendy est à la parade sur un bon tir du percutant attaquant Reine-Adélaïde. La fébrilité de notre défense est palpable. Thibault me souffle : « c’est laborieux ». Angers surclasse Reims. La reprise acrobatique rémoise avorte, le coup franc est mal tiré, les passes sont mauvaises, que c’est dur ! Delaune ne respire plus. Sur un corner du SCO, Traoré ajuste un tir imparable. But ! 0-1 pour Angers. C’est amplement mérité. Le break semble se profiler sur une splendide volée de Bahoken… Notre portier impérial nous sauve encore une fois, juste avant la pause. Mon voisin Fabien ne peut que soupirer : « C’est triste. Le milieu du SCO est agressif et nous empêche de construire. Leurs attaquants sont puissants et efficaces. »

Le but de la délivrance

Sur une pelouse arrosée, le Stade de Reims se rebiffe. Delaune reprend de la voix. Sur un centre de Doumbia, Oudin est à la réception. Delaune s’est levé, persuadé de tenir son égalisation ; mais ce fol espoir se heurte au poteau ! Noon ! Martin tente et réorganise son équipe. Les Scoïstes toujours menaçants agissent en contre. Le cuir fuse d’un but à l’autre. Mendy poursuit son match fantastique en repoussant les assauts adverses. Le ballon circule mieux du côté champenois malgré le manque d’automatismes à mon goût. Ojo place un solide tir que repousse le gardien angevin. Chavarria est à l’affût et se jette de la tête sur le cuir. BUUUT ! C’est la délivrance à Delaune. La sirène retentit allègrement. Les Rouge et Blanc poussent encore, loin d’être rassasiés. Dia fait son entrée au sein de l’attaque rémoise. Un tir des Noir et Blanc, heureusement trop croisé, tient en haleine le Stade. Le sifflet final dépose un bon point dans notre besace nous faisant gagner quatre places au classement. Les supporters sont partagés : du « pitoyable » pour certains au beau jeu de la seconde période pour Djiba. Le petit Aron aura le dernier mot : « C’était bien. Mon joueur préféré, c’est Chavarria. » 

Marie-Agnès Girault-de Francqueville

Reims-Bordeaux, de l’envie mais un score amer

L’ŒIL DU SUPPORTER

  Samedi 29 septembre 2018

8e journée de Ligue 1 Conforama 2018-2019

Stade de Reims (14e à 8 points) – Girondins de Bordeaux (10e à 10 points)

Deuxième match nul consécutif à domicile pour les Rémois qui ont partagé les points face à Bordeaux samedi (0-0). Comme à l’accoutumée, notre fidèle supportrice et écrivain Marie-Agnès était présente et vous fait le récit de la dernière rencontre des Rouge et Blanc, comme elle l’a vécue depuis les tribunes de Delaune…

Rebondir

De retour à Delaune, les Stadistes auront à cœur de gommer leur défaite parisienne et de repartir du bon pied en marquant des buts. En face, l’opposition ne sera pas des moindres avec un club au palmarès prestigieux en lice pour la Ligue Europa, les Girondins de Bordeaux qui ont enchaîné deux dernières victoires d’affilée. Méfions-nous de leur buteur N°11 aux cinq buts, Kamano, à égalité avec Cavani et Neymar, excusez du peu. Petit clin d’œil au bordelais Nicolas de Préville que Delaune n’aura pas oublié. 

De l’envie

Reims prend les commandes en faisant bien circuler le ballon. L’envie est là ! Dès la troisième minute, les Rouge et Blanc obtiennent coup sur coup deux corners mal négociés. Delaune se chauffe : « Qui ne saute pas n’est pas rémois, allez ! ». Côté champenois, un coup franc mal tiré, des passes imprécises, la finition fait défaut. Suk pique une bonne tête, hélas trop croisée. Les Girondins cadrent leurs tirs, sans danger pour Mendy. Le stade n’échappe pas au rituel des 31 secondes d’applaudissements pour la création de son club en 1931. Souvenirs. Mendy boxe des deux poings un coup franc tendu et dangereux. L’enceinte rémoise siffle la lenteur de l’attaquant danois Cornélius qui écope, à juste titre, d’un carton jaune. Après un sixième corner de notre équipe, c’est l’appel aux vestiaires.

Un score amer

Les supporters chantent pour encourager leur équipe, lorsque Cafaro ajuste un bon tir pour Chavarria qui s’ouvre le but, mais préfère remettre à Suk, trop fort. Non !! Quelle occasion gâchée ! Bordeaux revient à la charge par un bon tir cadré, facilement capté par Mendy. La riposte ne tarde pas sur une frappe de Chavalerin qui fuit malheureusement le cadre. Kamara pousse une accélération de titan, pénètre dans la surface, centre et reprend à bout portant, légèrement au-dessus de la transversale. Quelle malchance ! Kamano amène le danger par une jolie frappe aisément arrêtée par notre portier. Bruno, notre animateur, annonce 13 406 spectateurs à Delaune, olé ! Ojo tire lui-même son coup franc pour la tête de Chavarria, en vain. Les défenses ont œuvré pour un score amer, vierge de buts. Face aux Crocos de Nîmes, les Stadistes devront montrer des crocs plus acérés encore. On y croit !

Marie-Agnès Girault-de Francqueville